Burna Boy est officiellement entré dans l'histoire aux États-Unis ! Le journal nigérian Vanguard a rapporté que l'interprète du titre "Last Last" a joué au Citi Field dans le Queens, à New York, le samedi 8 juillet, où il a rempli le stade d'une capacité de 41 000 places.
Il est ainsi devenu le premier artiste africain à avoir rempli ce stade. Accompagné de sa sœur et du rappeur britannique Dave venu pour une partie de son concert, le rappeur nigérian (de son vrai nom Damini Ebunoluwa Ogulu) a également présenté en avant-première son nouveau single "Big 7".
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Récemment interviewé dans l'émission "Rotation Roundtables" d'Amazon Music avec Speedy Morman, Nyla Symone, Rob Markman et Gabe P., Swizz Beatz s'est par ailleurs félicité du succès de son protégé et a confié qu'il pensait être celui qui a introduit Burna Boy et Wizkid aux États-Unis d'Amérique. Selon lui, c'est donc à lui qu'ils doivent leur succès.
"J'ai présenté Wizkid aux États-Unis. J'ai été le premier à jouer sa chanson. Ma femme et moi étions en voyage et nous avons dansé sur sa chanson. J'ai été la première personne à amener Burna Boy aux États-Unis. En fait, il portait un bandana Ruff Ryders et je l'ai présenté sur scène. Lorsque je jouais Fela Kuti, les gens pensaient que j'étais trop afro, et c'est dire à quel point l'énergie était ignorante à l'époque.
Mais cela ne m'a pas empêché de faire ce que je fais, parce que c'est ce que c'est. C'est une question d'éducation. Nous ne pouvons donc pas avoir peur du voyage éducatif de quelque chose qui sonne différemment ou qui se sent différemment. Pour moi, voyager à travers le monde, c'est tout comme - j'ai hâte que les gens écoutent Ebo Taylor (...) Ça perce, d'ailleurs. Les gens sont plus ouverts d'esprit - ils ont juste besoin du bon point d'entrée".
Un brin prétentieux Swizz Beatz ou simplement réaliste ?