Grosse polémique au concert de YG ! Un fan du rappeur s'est fait virer de la scène après avoir refusé de crier "Fuck Donald Trump". Sans surprise, la Maison Blanche a réagi à cet affront.
Le président américain est dans toutes les discussions conflictuelles en ce moment. A l'approche des élections présidentielles américaines (en 2020), plusieurs artistes notamment des artistes de la scène urbaine ont donné leurs avis sur Donald Trump. En exemple, Rihanna s'était confiée à la version américaine du magazine "Vogue" pour dénoncer les agissements de Trump. Elle l'a même qualifié de "malade mental". Il faut dire que le locataire de la Maison Blanche a des expressions très critiquables ! Pour rappel, sa façon de parler de la communauté noire américaine laisse fortement à désirer ; c'est la raison pour laquelle Jay-Z, Beyoncé ou encore Meek Mill ont taclé le rappeur Kanye West. A la grande surprise du monde urbain, ce dernier est très proche de Donald Trump. Aussi, les propos du président sont parfois tellement scandaleux que la rappeuse Cardi B avait décidé de engager politiquement pour ainsi mieux contrer les idées de Trump. Avec toutes ces noms cités, il est bien évident que le président américain ne soit pas très apprécié artistiquement parlant... Et ça se confirme avec YG !
Le rappeur from California était en concert au Mala Luna Music Festival au Texas le week-end dernier. YG avait invité une personne du public à monter sur scène pour chanter avec lui son son anti-Trump datant de 2016. Un son nommé "FDT" pour "Fuck Donald Trump". Cette musique fait sens à l'artiste car c'est un featuring avec le très regretté Nipsey Hussle mais aussi une façon de partager son "dégout" pour les idées de Trump. YG a remarqué qu'un membre du public ne chantait pas ce son. Le rappeur l'a alors invité sur scène et l'a incité à prononcer le fameux "Fuck Donald Trump". Le fan a refusé. YG l'a alors viré de la scène en le poussant.
Un évènement qui a fait réagir la Maison Blanche puisque la porte-parole de Trump, Stephanie Grisham (souvent en clash avec des rappeurs sur Twitter), a réagi de manière sarcastique en disant : "un nouvel exemple d'une gauche tolérante".
Une chose est sure : la guerre entre le rap game américain et le président n'est pas près de s'arrêter là...