Une grosse consécration ! Si on doutait encore de l'impact d’Aya Nakamura, il est temps de se réveiller. Aujourd’hui, quand on parle de la chanteuse, on en parle à l’international. De Bamako à Brooklyn, son nom résonne comme une évidence. Icône mondiale, elle est devenue incontournable dans la chanson française, bousculant les codes, déjouant les critiques, et surtout… impossible à ignorer.
Celle qui vient de faire son retour en force avec "Baddies", un feat sensuel et chaloupé avec Joé Dwet Filé, prouve qu’elle est toujours au top du game. Pendant que certains arriérés comme Nelson Monfort ou Laurent Gerra continuent de la snober ou de la caricaturer, le monde entier, lui, l’acclame. Usher himself s’est ambiancé sur ses sons, et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.
Mais alors, qu’est-ce qui lui manquait pour être sacrée légende ? Un détail symbolique, peut-être. Une consécration à la hauteur de son influence.
C’est désormais chose faite : ce jeudi 12 juin, Aya Nakamura a inauguré sa propre statue au musée Grévin. Un moment historique, un geste fort, une reconnaissance officielle dans un lieu qui célèbre les plus grandes figures de la culture. À 30 ans, l’interprète de "Djadja" entre dans un panthéon bien trop longtemps réservé à une certaine élite.
Et Aya le dit avec fierté :
"Je pense être l’une des premières 'darkskin' en France à être au musée Grévin."
"J’aurais jamais pensé être inspirante en étant moi-même."
Près de 6 mois de travail minutieux ont été nécessaires pour réaliser cette statue. Et le résultat est à la hauteur du personnage. Pour Aya, "c’est l’une des plus réussies", et on ne peut qu’être d’accord. Mérité. Carrément mérité.
Avec cette statue, Aya Nakamura ne fait pas qu’entrer dans le musée Grévin. Elle entre un peu plus dans l’histoire.
Elle a dit « ouais »…MDRR🤣 pic.twitter.com/qFqTXDIGvx
— Nakamura Univers (@aya_univers) June 12, 2025