Ma$e l'a mauvaise depuis de nombreuses années envers Diddy, son ancien producteur au sein du label Bad Boy Records. Il ne perd jamais une occasion de le clasher quand il en a l'occasion. Alors que Fivio Foreign a expliqué qu'il était pris au piège d'un contrat avec le label de l'ancienne superstar, ce dernier a profité de sa réponse pour en remettre une couche sur Puffy.
Dans une interview récente avec Million Dollaz Worth of Game, le drilleur à succès Fiviio Foreign a expliqué qu'il était enfermé dans un contrat avec RichFish Records, le label de Ma$e. Il a expliqué aux hôtes Gillie Da Kid et Wallo qu'un de ses amis l'avait emmené chez Ma$e et l'avait poussé à signer l'accord pour lequel l'avance n'était que de 5000 $.
Ma$e est donc lui aussi venu s'expliquer dans le podcast. L'ancien artiste Bad Boy a expliqué sa version et affirme qu'il a donné 700 000$ d'avance au drilleur new-yorkais.
Fivio Foreign admits he signed to Mase for $5k
— No Jumper (@nojumper) July 25, 2022
Via @mworthofgame pic.twitter.com/EcRR3IhcDe
Surtout, il a profité du micro ouvert pour tacler une nouvelle fois son ancien producteur qui, selon lui, ne lui a jamais donné ni le respect ni l'argent qu'il méritait.
"J'avais l'impression d'avoir fait plus que ce pour quoi j'étais crédité, plus que ce pour quoi j'étais payé. Je n'ai jamais été payé à ma juste valeur et je n'ai jamais eu le respect que je méritais. Il a tout fait pour me garder en bas de l'échelle alors que tous mes pairs sont bien au-dessus, ils sont tous devenus des patrons. Il n'a jamais voulu que je grandisse."
Ma$e a également affirmé que Diddy essayait de le garder uniquement en tant qu'artiste et ne l'avait jamais laissé grandir en tant qu'individu. Il a tellement de rancoeur qu'il a même sorti un diss track en mars dernier, "Oracle 2: Standing on Bodies" sur lequel il s'en prend à son ancien ami. Plus tard, il a carrément attaqué nommément sur les réseaux sociaux.
D'ailleurs, quand les animateurs du podcast lui reparlent des déclarations de Fivio Foreign, il répond par cette expression : "Diddy 2.0". Tout est dit...