Il faut sans doute être aveugle pour ne pas voir que depuis un an, un drôle de haut bariolé envahit les rues et les terrains de five de tout l'hexagone. Si certains se posent encore la question, il s'agit ici du maillot de la Thaïlande.
Un équipement non officiel déclinable à l'infini, customisé à l'aide de sponsors relatifs à la vie de nos quartiers, mention spéciale à "Yamaha" et "T-Max".
Une sacrée mode venue tout droit de vos vacances dans les villes de Phuket ou de Pattaya, illustrées dans un nombre incalculable de clips de rap. Tout le monde y passe, des pointures jusqu'aux rookies, il y en a pour tous les goûts : Alonzo, Jul, PNL, MMZ, etc.
Interpellé par le phénomène, c'est le quotidien sportif L'Equipe qui a enquêté le business de ces fameux maillots hauts en couleur. Des produits qu'il est désormais facile de se procurer en France, globalement moins chers qu'un équipement de football traditionnel...