Cela ne vous a pas échappé, c'est la rentrée. Pour les élèves, les professeurs, les travailleurs, mais aussi tous les autres. Cela ne vous a pas échappé, cette rentrée 2023 n'est pas placée sous les meilleurs auspices. Sadek, en fin observateur des affres de notre société, ne s'y est pas trompé et n'a pas hésité à faire part de ses sentiments sur Twitter sur les sujets chauds liés à cette période. Il a été notamment très virulent sur la polémique liée au port de l'abaya à l'école et son interdiction accusant le gouvernement de détourner la population des vrais problèmes, économiques notamment.
Il écrit notamment :
Les gens ne peuvent plus partir en vacances , faire les courses normalement , commencent chaque mois endettés , les services publiques sont médiocres , les hôpitaux sont à l’agonie , personne ne se sent plus en sécurité Mais non la priorité de l’état c’est de parler chiffon
Les gens ne peuvent plus partir en vacances , faire les courses normalement , commencent chaque mois endettés , les services publiques sont médiocres , les hôpitaux sont à l’agonie , personne ne se sent plus en sécurité
— sadek (@Sadekniuum) September 4, 2023
Mais non la priorité de l’état c’est de parler chiffon 😪
Il souligne aussi les incohérences du même gouvernement qui n'applique clairement pas les préceptes qu'il impose au peuple...
On est vraiment des sans culottes … bon qu’à se faire enc🤗ler https://t.co/928EJtu9z0
— sadek (@Sadekniuum) September 4, 2023
Enfin, il se fait l'écho d'une photo qui montre des agents des force de l'ordre devant un établissement scolaire et qui est publié comme étant la preuve d'un contrôle aux portes d'une école quant à l'application de l'interdiction de l'abaya.
La France est un pays laïque mais dirigé par un gouvernement sataniste , voili voilou 🤗 https://t.co/F4Uuik3ZpZ
— sadek (@Sadekniuum) September 4, 2023
A cet égard, il convient tout de même de souligner que sur Twitter, il a été expliqué que ce n'était pas vraiment le cas.
"Selon le chef d'établissement et la préfecture du département, la présence des policiers n'avait rien à voir avec les abayas, et aucun contrôle vestimentaire n'a été effectué."
A noter que quoi qu'il en soit, Sadek n'était pas content de cette rentrée et a tenu à le faire savoir.