Récemment libéré de prison après avoir été gracié par Donald Trump, Kodak Black a failli retomber aussi sec. Il était en effet accusé d'agression sexuelle, une histoire qui date de 2016 où il aurait tenté d'abuser d'une adolescente dans une chambre d'hôtel en Caroline du Sud. L'histoire est très grave car, dans un premier temps, le rappeur né en Floride a été accusé de viol par sa victime. Les faits se déroulent après un concert à Florence. Kodak Black aurait attaqué sa victime, la violentant alors qu'elle lui demandait d'arrêter et la mordant à la poitrine et au cou.
Face à cette accusation, celui qu'on appelle aussi Bill Israël a négocié un accord avec la justice en acceptant de plaider coupable pour agression au premier degré. Il a donc été condamner à une période de probation de 18 mois. En revanche, s'il venait à commettre un délit ou une infraction durant ce laps de temps, Kodak Black encourt une peine de dix ans d'emprisonnement.
Depuis, le patron du Sniper Gang a fait amende honorable et a repris contact avec sa victime pour s'excuser.
"Je m’excuse pour ce qui s’est passé, et j’espère que nous allons pouvoir passer à autre chose."
Ce qu'il faut remarquer, c'est que Bill K. Kapri de son vrai nom est un autre homme depuis que le président Trump lui a permis de sortir de prison. Il s'engage dans sa communauté, tient ses promesses de verser de l'argent à des associations humanitaires et ne défraie pas la chronique ou alors contre son gré comme lorsqu'il a été la cible de coups de feu.