Goodson nous dévoile l’EP "La Bonne Paye", un 8 titres dans lequel on retrouve ses diverses influences musicales et cinématographiques. Le projet oscille entre chant et rap, sonorités mélodieuses et percutantes, écriture soignée, flow versatile et kicks techniques. Sur "La Bonne Paye", Goodson se présente en tant que cinéphile est mélomane, et s'inscrit dans le présent. Une transcription précise de l’imaginaire de l’artiste, un chemin tracé entre sa psyché et son audience. Goodson cumule les sorties en présentant également "C'est Faux", le second clip de son projet "La Bonne Paye". Le Quentin Tarantino du rap compile et fusionne dans son clip les images et les univers, du sombre au coloré et de la rue au studio. Toujours sur fond de lyrics crus et dénonciateurs, il vient enflammer l'instru à la poursuite du "khaliss".
Goodson, rappeur parisien, nous fait entrer dans son univers unique et ultra-référencé ("Barry Lyndon", "Mike Milligan"). À la manière d’un Quentin Tarantino, il superpose une palette de références et d’images, qu’il découpe et recolle avec une conception propre.
Amateur de cinéma, le parisien touche à tout : il rappe, produit et réalise ses clips. Le rappeur s’inspire de noms tels que Drake, Big Sean ou encore Young Thug, et se situe entre expérimentations, sampling et compositions. Dans ses morceaux, Goodson explore des thèmes qui lui sont chers comme sa ville, Paris, propice à ses expériences, ses réussites et ses défaites. L’artiste mêle la poésie à la violence, l’égo-trip à des questionnements perpétuels sur les blessures du passé. Le rappeur parisien apporte du soin à son écriture comme à la réalisation de ses clips.
Dans un premier temps au sein du groupe Soprod, puis en solo, Goodson manipule les teintes, les tons et les temps à sa guise, créant un univers propre, qu’il expose dans ses clips et dans son premier EP "Amateur prédateur" en 2019.
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