Booba-Kaaris : Kaaris continue de refuser le contrat et Booba jette l’éponge !

Le contrat à 1 million d’euros ne tente toujours pas Kaaris et Booba a l’air de laisser tomber...

Le clash Booba-Kaaris continue et nous fait nous questionner sur une possible fin du conflit ! Alors que beaucoup espèrent que leur confrontation se jouera et terminera éventuellement durant leur combat MMA, le contrat de ce dernier n’a pas encore été signé, les deux adversaires n’ayant pas encore trouvé d’accord quant au lieu notamment. Alors que B2O insiste pour que Kaaris signe le contrat proposant la Suisse comme lieu de fight, son opposant refuse de le signer et le clashe de nouveau en mentionnant son ex-femme.

Le contrat que Kaaris ne signe pas est donc celui signé en direct du plateau TV de Touche Pas à Mon Poste par le Duc, qui insiste sur un octogone en Europe, plus précisément en Suisse, où l’organisation MMA : HSC permettrait d’organiser un combat dont les critères lui correspondent parfaitement. Sûr de lui, Booba a donc surenchéri après son passage à TPMP, en publiant sur son compte Instagram une vidéo du promoteur de HSC proposant 1 million d’euros à son rival s’il accepte ses conditions, comme ultime proposition.

Kaaris, quant à lui, n’a pas été séduit par cette version du contrat, toujours attaché à sa version originale avec comme lieu de combat le territoire tunisien. Il affirme clairement sur son propre compte Instagram qu’il attend toujours que Booba signe sa version du contrat en exprimant avec dérision que “pendant ce temps-là”, il est “en train de regarder des vidéos de twerk”. Ne s’arrêtant pas là, K2A montre aussi une vidéo de son ex-femme, mère de ses enfants Luna et Omar, en train de danser…

 

 

Une énième provocation et proposition à laquelle Booba n’a pas cédé, déclarant son adversaire de “vainqueur de l’Octogone” et remerciant le promoteur en question notamment, “pour avoir presque pu rendre ce combat possible”. On attend de voir si Booba a définitivement jeté l’éponge, ou s’il essaye juste de menacer Kaaris.

 

 

-Anaïs Koopman