L'affaire judiciaire impliquant JAY-Z continue de faire les gros titres. Accusé d'agression sexuelle sur mineure lors d'une soirée en 2000, l'artiste est désormais confronté à une nouvelle histoire liée à un enregistrement audio. Cet enregistrement remet en question les accusations portées par la plaignante anonyme. Cependant, cette dernière conteste sa crédibilité et maintient ses affirmations...
Le 12 mars dernier, ABC News a diffusé un extrait audio dans lequel la plaignante semble revenir sur ses accusations. Lors de cet échange avec deux détectives, elle aurait déclaré que JAY-Z n'avait pas commis d'actes sexuels contre elle et que son avocat, Tony Buzbee, l'aurait incitée à poursuivre le rappeur. Ces déclarations ont été rapidement utilisées par l'équipe juridique de JAY-Z pour défendre leur client. Alex Spiro, avocat de l'artiste, a affirmé que cet enregistrement prouvait que les accusations étaient "fausses et malveillantes".
Cependant, la plaignante a déposé une déclaration contestant ces propos. Elle affirme que les circonstances entourant cet enregistrement étaient "inhabituelles et stressantes". Selon elle, les détectives privés se sont rendus à son domicile sans prévenir, ce qui aurait créé une situation intimidante. Elle précise qu'elle n'était ni calme ni naturelle lors de cette conversation et qu'elle n'a jamais affirmé que JAY-Z ne l'avait pas agressée.
De son côté, JAY-Z continue de clamer son innocence depuis le début de cette affaire. Le rappeur a récemment intenté une action en diffamation contre la plaignante et ses avocats. Il accuse ces derniers d'avoir orchestré une campagne visant à lui infliger des souffrances extrêmes et à ternir sa réputation.
Les accusations contre JAY-Z remontent à une plainte déposée en 2018 par la plaignante anonyme. Elle affirme avoir été agressée sexuellement par le rappeur lors d'une afterparty après les MTV Video Music Awards en 2000. Initialement déposée contre Diddy, la plainte a été réintroduite plus tard avec JAY-Z comme accusé principal.