Aya Nakamura répond à ses haters

Aya Nakamura répond à ses haters
"J’ai pas d’ennemis, moi c’est eux qui m’aime pas."

Son dernier single "Doggy" fait parler.

En plein tourbillon médiatique, au point de devenir "l’affaire Aya Nakamura", la chanteuse a sorti un nouveau single "Doggy". Quelques phrases ont retenu notre attention.


Entre insultes et acharnement, Aya Nakamura a vécu une véritable vague de racisme ces dernières semaines après sa rencontre avec Emmanuel Macron. Les rumeurs autour de sa participation à la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques semblent se confirmer. Après la publication d'une banderole raciste où il est écrit "Y’a pas moyen Aya, ici c’est Paris, pas le marché de Bamako", l’affaire a explosé sur le plan national. Du côté de l'extrême-droite, ils se sont tous mobilisés pour empêcher la venue de l'interprète de "Hypé" pour chanter Edith Piaf. Une enquête a depuis été ouverte suite à un signalement de la Licra.


"J’ai pas d’ennemis, moi c’est eux qui m’aime pas. Un tas d’ennemis mais je les connais même pas"


Dans son dernier single "Doggy", Aya Nakamura a lâché des paroles qui ne sont pas passées inaperçues : "J’ai pas d’ennemis, moi c’est eux qui m’aime pas. Un tas d’ennemis mais je les connais même pas". Si l’on continue à analyser le texte, d’autres paroles ont un lien avec l’actualité : "Pas besoin d’me valider. Je fais la une des magazines. Rien que ça combat, combat pour moi. Je peux dead, il en abuse et moi je craque ? Ça c’est un coup bas". Une belle manière de faire taire ses détracteurs, la musique gagnant très souvent. Cette affaire du moins est loin d’être terminée...