YNW Melly aurait autorisé l'assassinat de sa propre mère !

C'est ce qui ressort de documents mis en ligne récemment.

YNW Melly est derrière les barreaux depuis février 2019, date à laquelle il a été arrêté pour le meurtre de ses deux amis, YNW Sakchaser et YNW Juvy. Tandis que le jeune rappeur continue de clamer son innocence, il risque tout de même la peine de mort s'il venait à être reconnu coupable de ce double assassinat. Mais dimanche 26 juin, de nouveaux documents sont venus mettre en lumière la personnalité du prisonnier. Selon un document partagé par le compte Instagram No Jumper, Melly aurait donné le feu vert au meurtre potentiel de sa mère.

Il semble que le document soit une retranscription d'un dialogue entre les procureurs. A la question de savoir s'ils pensaient que Melly pouvait être coupable des crimes dont il est accusé, la réponse est sans appel :

"Oui. Si vous lisez son téléphone, il y a des messages à propos de trafic de stupéfiants et beaucoup de messages à propos d'armes à feu. Il y en a aussi qui autorise le meurtre de sa mère. Ce sont les choses qu'il envisage d'"autoriser"..."

Alors que la publication commençait à devenir virale, un message est apparu sur les stories Instagram de YNW Melly pour dire que tout cela était un mensonge visant à affaiblir le rappeur alors que son procès devrait bientôt débuter.

"Mensonges ! Faux Agenda ! Innocent !"

Cette publication jette quand même le trouble, d'autant plus qu'il y a quelques mois, YNW Melly et sa mère se sont assez violemment embrouillés, le rappeur traitant sa génitrice de "menteuse".

"Ma maman ment, ma maman a des problèmes d'anxiété. Elle pense de cette manière parce qu'elle a l'impression que mon frère est censé être plus grand ou peu importe. Personne ne s'oppose à mon frère sans argent. Si Track b*ise mon frère pour de l'argent, cela signifie que je b*ise mon frère pour de l'argent et je ne ferais jamais ça à mon petit frère. Ma maman trébuche, se plaint et ment. Elle ment depuis un moment maintenant."

De là à la faire exécuter, il y a quand même un pas...