Pour imager les deux premiers tracks “Kaïju”, signifiant “créatures étranges” en japonais, et “Disizilla” de son douzième album “Disizilla”, appellation inspirée par son nom de scène Disiz et le monstre Godzilla. Il sortira le 14 septembre prochain.
L’artiste se met en scène dans une ambiance qui suggère fin du monde, sortant de l’eau pour marcher sur le bitume brûlant, sur une instru qui rappelle celle d’un film mêlant suspense et action. A peine sur la terre ferme, il s’attaque directement à un motard, pour lui dérober moto et tenue, masque compris.
Débute alors une course poursuite en moto puis en courant, à mesure que le soleil se couche, à travers les routes et les champs, dans la fumée et la nuit. Il est d’abord coursé par les acolytes du motard, matraque en main, avant de se mettre à les courser à son tour, et de finir par tous les éliminer...
En surhomme, il rappe “Quand j’enfante l’instru’, je suis monstrueux” devant un immeuble désaffecté, nous inspirant une “atmosphère apocalyptique”...de quoi annoncer les dièses japonisantes et dark de son nouvel album, dans lequel sont conviés Fianso sur le morceau “Enfant des rues”, Niska sur “Cercle Rouge”, et Eari sur “Ulysse”.
On a hâte de voir à quel point Disizilla sera “monstrueux”...!