Ça ne va plus du tout entre Megan Thee Stallion et son label ! Le litige qui avait commencé sur les réseaux sociaux va continuer dans les salles d'audience du Texas. La rappeuse poursuivrait 1501 Certified Entertainment car ils l'empêcheraient de sortir des musiques.
Selon le média américain TMZ, un juge du Comté de Harris a accordé une ordonnance temporaire à Megan lui permettant de sortir de la musique comme elle le prévoyait le vendredi 6 mars.
Déjà dimanche dernier, son manager avait révélé dans un live Instagram que 1501 refusait qu'elle sorte des sons depuis qu'elle a tenté de renégocier son contrat. De plus, son avocat, Richard Busch annonce à TMZ : "Nous sommes très heureux que la Cour ait accordé cela à Megan et nous sommes ravis que le monde puisse enfin entendre sa nouvelle musique le 6 mars. Nous allons maintenant procéder aux autres réclamations énoncées dans le procès."
Le procès de Megan dévoile certains détails de son contrat avec 1501, qui a été fondé par l'ancien joueur de baseball, Carl Crawford. La Cour révèle qu'elle a reçu une avance de 10 000 dollars pour un contrat qui donne au label 60% de ses revenus d'enregistrement. De plus, les 40% restants et qui lui reviennent doivent aussi couvrir les frais d'ingénierie, de mixage et de collaboration. Le contrat stipule également que toutes les recettes des tournées et performances de Megan reviennent directement au label.
Le procès évoque aussi un lien entre Crawford et J.Prince, le fondateur de Rap-A-Lot. Megan a accusé le patron de son label d'utiliser la réputation de Prince pour intimider les autres dans l'industrie de la musique. Elle cite spécifiquement un exemple dans lequel Crawford aurait fait pression sur un producteur pour qu'il fournisse des prods en utilisant le nom du fondateur de Rap-A-Lot.
Megan a donc attaqué Crawford et 1501 et elle prétend à un million de dollars de dommages et intérêts. Bien que son nom soit mentionné dans le procès, Prince n'est pas répertorié comme accusé.