Avec la masse de contrats d’artistes étant rompus ou même signés à la va vite, Birdman excelle dans l’arnaque des droits des artistes sur leurs biens culturels, et l’histoire ne date pas d’hier !
Déjà en 2004, Birdman alias Baby aurait escroquer ses artistes et signés sur la structure de Cash Money. En effet, il serait accusé de ne pas avoir payé ses producteurs et actionnaires du label.
Mais l’art de la sournoiserie et de l’escroquerie n’est pas quelque chose qu’on apprend de partout. C’est durant une intervention dans une école de de gestion et business que Birdman se rend, pour expliquer quelques méthodes de vice aux élèves.
Lors de la conférence, il explique comment modifier un contrat le lendemain, alors que l’artiste l’a signé la veille. Incroyable ou malsain, « business is business » pour Birdman qui explique l’art et la manière de plumer les rappeurs dans les règles de la street.
« Tous les contrats peuvent être révisés. Je le jure devant Dieu n’importe quel deal que je fais … Gros on va le re-modifier dès le lendemain matin. Je suis un vrai expert dans ce domaine. »