R.Kelly éclate en sanglots en pleine interview !

Inculpé pour dix chefs d’agression sexuelle, R.Kelly s’est enfin exprimé et a fondu en larmes durant l’entretien.

L’affaire R.Kelly ne cesse pas de faire du bruit, surtout depuis la sortie du documentaire “Surviving R.Kelly” en janvier dernier. Si le chanteur accusé n’avait presque pas réagi, à part pour faire part de son fort mécontentement à la suite de la diffusion des premiers épisodes, il a récemment plaidé non-coupable à la suite de sa détention en prison durant quelques jours pour pédophilieLibéré de prison sous caution la semaine dernière, R.Kelly a accepté de donner une interview et de revenir sur les faits, avant de fondre en larmes.

Clamant encore et toujours son innocence en attendant son procès prévu pour le 22 mars prochain, l'accusé a déclaré l’affirmation suivante au micro de la journaliste Gayle King, sur le plateau de CBS : “qu’ils s’agisse de vieilles, de nouvelles ou de rumeurs à venir, rien de tout ça n’est vrai (...) je n’ai pas fait cela”.

 

 

Il s’agit de la première interview donnée par R.Kelly depuis la divulgation de nombreux témoignages à son encontre dans le fameux documentaire, à travers laquelle l’artiste passe vite de l’énervement aux larmes. Lorsque son interlocutrice lui demande s’il a déjà détenu des femmes contre leur volonté, il demande au reste du monde d”’utiliser son bon sens”, affirmant qu’il serait “stupide”, après un passé aussi compliqué, de décider de se transformer en “monstre” et d’”enchaîner des femmes dans sa cave”... Il se met ensuite à pleurer en implorant ceux qui l’accusent de “tout arrêter”, d’”arrêter de jouer”, en répétant que “ce n’est pas lui” et qu’il “se bat pour sa put*** de vie”.

Une réaction sûrement dûe au “lynchage public” que dénonce notamment le musicien Andrew Wyatt et dont R.Kelly ou encore Bill Cosby font tous deux l’objet pour des chefs d'accusation similaires. D’après leur défenseur, ce type de harcèlement s’expliquerait par leur couleur de peau. On attend le procès de R.Kelly pour en savoir plus...

-Anaïs Koopman