Poursuivi par cinq associations féministes, Orelsan devra s'expliquer pour quelques-uns de ses textes devant la cour d'appel de Versailles.
Jugée comme sexistes et provocatrices, certaines de ses paroles lui avaient valu quelques ennuis.
Condamné une première fois à payer 1000 euros en 2013, il avait ensuite vu la sanction annulée par la cour d'appel de Paris.
Une décision pas au goût de la cour de cassation qui a donc ordonné un troisième procès.
Voici les phrases visées dans cette affaire:
"Les féministes me persécutent (...), comme si c'était d'ma faute si les meufs c'est des putes".
"Ferme ta gueule ou tu vas te faire Marie-Trintigner"
"Renseigne-toi sur les pansements et les poussettes, j'peux t'faire un enfant et t'casser le nez sur un coup d'tête"
Qu'en pensez-vous ?