Sale temps pour Zola.
Dans la nuit du mercredi 28 août 2024, alors qu'il roulait en direction de Paris sur l'autoroute A6, le jeune rappeur a été interpellé par la police. En effet, Zola était tranquillement à bord de son véhicule, une Mini Cooper, roulant à une vitesse légèrement supérieure aux 130km/h autorisés : ce dernier dépassait largement les 200 km/h quand les gendarmes l'ont intercepté. Mais ce n'est pas tout, puisque le rappeur parisien roulait sur cette autoroute à vive allure, mais également les feux éteints !
Alertés par son comportement, les gendarmes lui ont alors demandé de s'arrêter pour un simple contrôle routier. Mais Zola a refusé de coopérer, le ton est monté, et le rappeur a pris la décision de rentrer chez lui, en Essonne. Poursuivi par les forces de l'ordre, ils lui ont fait passer un test salivaire pour dépister une éventuelle consommation de drogues, et le résultat s'est avéré positif. Il a ensuite été arrêté, et mis en garde à vue.
Un casier judiciaire pas si vierge
Malheureusement pour lui, Zola n'est pas inconnu des services juridiques. En 2018, ce dernier avait déjà été condamné pour possession de résine de cannabis et d'une balle de revolver. Les choses ne se sont pas arrangées pour lui, quand, 5 ans plus tard, il était de nouveau condamné à 10 mois de prison pour avoir agressé un automobiliste avec une batte de base-ball.
Une sale période pour le rappeur, qui a vécu plusieurs galères cette année. En mars dernier, Zola avait laissé exploser sa colère en story Insta quand il avait appris que l'automobiliste qui avait accidentellement tué sa mère en 2023 avait été remis en liberté.
"Ils ont remis le tueur en liberté, hein, maman. Ils t'ont fait ça, hein ma reine, ah ouais hein ?"
Toujours en colère et traumatisé par la perte tragique de celle qui l'a mis au monde, on comprend mieux pourquoi le jeune rappeur de 24 ans entretient des relations tendues avec la police.