Lorsqu'il a été libéré, 6ix9ine a été autorisé à refaire de la musique et à communiquer sur les réseaux sociaux. Une des seules conditions, c'est qu'il ne devait redevenir le troll qu'il a été. Trop tard ! Pour son premier message, alors que le post parlait de dénonciation, il a demandé s'il pouvait aider, obligeant son avocate à intervenir pour rappeler les conditions d'accès aux réseaux sociaux de son client.
24h. C'est le temps qu'a tenu Tekashi avant son premier dérapage sur les réseaux sociaux. Dimanche 5 avril, le rappeur assigné à résidence a commenté un post à propos du maire de Los Angeles demandant à la population de dénoncer les entreprises qui feraient travailler leurs salariés. 6ix9ine a proposé son aide comme un pied de nez à tous ceux qui le traitent de balances...
Pourtant, les conditions de sa libération étaient très claires, sa présence sur les réseaux sociaux n'est autorisée que s'il ne trolle pas, qu'il ne s'embrouille pas avec d'autres rappeurs ou d'autres personnes, s'il ne fait pas l'apologie des gangs. Son avocate, Dawn Florio, dans un entretien à TMZ a précisé : "le gouvernement fédéral le surveille". Autant dire qu'il a déjà fait un pas de travers. Un post, une entorse à la règle. Pas mal pour un début ! Ceci dit, 6ix9ine risque gros car il pourrait retourner derrière les barreaux s'il ne suit pas les règles que lui impose la justice. Or, il a du travail car il a signé un contrat de 10 millions de dollars avec le label 10K Projects à qui il doit au minimum un album en anglais et un autre en espagnol.
