Booba-Kaaris : le promoteur suisse s’explique...

Booba-Kaaris : le promoteur suisse s’explique...

Enfin quelques éclaircissement concernant le combat MMA de Booba et Kaaris, par le promoteur suisse !

Des semaines, des mois depuis qu’on ne parle presque que de Booba et Kaaris et du fameux combat MMA qui devrait les opposer en toute légalité. Alors que le Duc de Boulogne signait un contrat pour un combat sur le sol suisse comme annoncé en direct de TPMP début mars, Kaaris, plutôt mécontent, a quand même affirmé début avril avoir pris rendez-vous avec l’organisation suisse SHC MMA, programmateur de grands événements MMA en Europe. Le média Konbini a accueilli Raïd Salah, promoteur et “potentiel organisateur” du fameux match qui pourrait bien se dérouler en Suisse en septembre prochain.

Plusieurs questions ont été posées au promoteur, afin d’en savoir plus sur la situation actuelle, dans laquelle “Booba a accepté l’accord de principe. Pour Kaaris, on est sur la bonne voie.” Un peu d’espoir pour les fans des deux rappeurs, alors que certains pensent à un abandon du match ? C’est ce qu’on choisit de croire. Car même si les deux potentiels combattants sont “toujours en négociation sans nouvelles de Kaaris”, on est “dans le positif

 

 

 

Plus que “l’accord de principe” de Kaaris, donc, avant d’entamer les négociations, de nouveau ! Un process “très difficile”, toujours selon potentiel organisateur, vis-à-vis des “caprices” et “demandes” de chacun. Pourtant, chaque rappeur devra “s’adapter aux règles du MMA”, s’ils choisissent d’entrer dans ce “monde”. Concernant la fameuse clause du grec, celle-ci n’existe pas et n’est qu’une “provocation” ! On en doute pas.

Pour Raïd Salah, “la seule option est Genève”, le berceau de l’organisation SHC MMA. D’après ses dires, ce n’est pas un évènement “à prendre à la légère”, puisque “les enjeux sont énormes (...) ils ont intérêt à s'entraîner normalement”. Booba aurait déjà pris le pli, s’entraînant “5 à 6 jours sur 7, 2 à 3 fois par jour”, tout comme Kaaris d’après ses réseaux. Même s’il ne faut pas s’attendre à un “combat technique”, un “combat dans les règles” reste un bel “exemple” donné par les deux artistes, comme pour se rattraper après avoir véhiculé le mauvais message lors de leur combat à Orly

Une manière aussi de rendre le combat MMA accessible à tous : “si grâce à ce combat-là (...) le monde francophone (...) va connaître ce sport (...) : c’est ça notre objectif dès le départ”. En clôturant son entretien de ce souhait :  “Faites-nous plaisir pour que le meilleur gagne”, le promoteur suisse rejoint l’attente de nombreux fans !

-Anaïs Koopman