1998. Un téléphone sonne. Akhenaton décroche.
Au bout du fil, Sako, du groupe Chiens de Paille. L’histoire débute ainsi.
C’est l’explosion « Taxi », des passages radios qui n’en finissent plus, une exposition incroyable et un succès qui propulse Sako parmi la relève du rap français. Sako continue dans la voie qu’il s’est lui-même tracée : celle du rap de lyriciste.
Il poursuit sa quête du morceau parfait : la meilleure production, le meilleur thème, les plus belles rimes…
Cette aventure débouche sur un premier album, « Mille et un fantômes », reconnu par la critique. Épaulé par AKH et membre à part entière de l’aventure de La Cosca, le rappeur cannois écume les scènes, devient le backeur du MC d’IAM lors de ses tournées solos.
On le retrouve sur les albums solos d’Akhenaton. Conscient de la qualité de sa plume, Akhenaton lui propose de devenir parolier. Son écriture séduit les plus grands (Amel Bent, Christophe Maé, la comédie musicale Dracula, Florent Pagny…).
Dans la foulée il lance alors sa propre société, JussGooD Music qui édite les chansons qu’il écrit et lui permet de sortir le deuxième volume du street-album, « Tribute » en collaboration avec Cut Killer.
Sako fait une autre rencontre d’importance avec le duo de compositeurs Nius et SoFly travaillant pour Justin Bieber, Flo Rida ou Shakira… Sako devient ainsi le seul artiste français avec un album en partie composé par Nius et SoFly qui le rejoignent dans le beau projet de produire un disque hip-hop acoustique.
Cela fait maintenant quatre ans qu’il travaille dessus en bon artisan du hip-hop.
Aujourd’hui, le disque « Une Vie » est finalisé. Il va marquer le retour de Sako au plus haut niveau du rap game…
